DIVERS
On peut citer les badauds de Paris, les corbeaux de La Fère, les singes de Chauny… les beyeux de St.-Quentin
Au XVIIème siècle, on avait coutume de placer des troncs dans les auberges pour les pauvres et les établissements hospitaliers.
En l’année 1756, le carrosse de St.-Quentin à Paris avait son bureau rue de la Sellerie. Il arrivait et partait le mercredi et le samedi. Il fallait 3 jours de route et on passait par Ham, Noyon, Compiègne et Senlis.
En 1792, on trouve des diligences 4 fois par semaine et on met 22 heures et une nuit.
Les Maisons de Charité : Nulle part plus qu’à St.-Quentin, la charité privée et publique n’a été si importante. On aide les nécessiteux, on donne des soins et de la layette pour les accouchées, on ouvre des crèches.
Samuel Joly vint s’établir en 1704. Il était né en 1684, fils de Samuel de Samuel Joly, sieur de Bammeville, écuyer (né en 1652).
1704 : installation de Crommelin, Cottin, Fizeaux.
Le mayeur des Confréries avait sa place d’honneur à l’église et le bedeau, en grande tenue, le reconduisait chez lui, après la grand-messe. Il recevait, chez lui, des personnalités et leur offrait des gâteaux bénis à l’offrande et un verre de vin.
Confrérie archers : Le tir à l’oiseau remontait au roi Louis XI. Celui qui abattait l’oiseau était proclamé Roi. Dans ce temps là, le jour de la St Jean et celui de la Ste Marguerite étaient célèbres. A partir de cette époque, pour une bataille gagnée ou un événement, on chantait un Te Deum et on faisait un feu de joie.
Au XVIIème et XVIIIème siècles, les St-Quentinois avaient l’habitude de se grouper et de rechercher tout ce qui faisait du bruit. Ils reçurent le sobriquet de "Beyeux"