Ecclésiastique. Ecrivain. Curé en 1616 de l'église Saint-André, chanoine des églises de Saint-Quentin et de Sainte-Pécinne |
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Girodon
Gabriel Saint-Quentin 14 avril 1884 - Château du rocher, à Mésanger (Mayenne) 24 novembre 1941. |
Saint-Quentin
14 avril 1884 - Château du rocher, à Mésanger (Mayenne) 24 novembre
1941.
Peintre et sculpteur,
il fit aussi du portrait, du vitrail, de la lithographie et de la
gravure sur bois. |
Hennuyer Jean -Saint-Quentin 1497- 1578 | Evêque,
Educateur, confesseur. S'opposa au massacre des protestants Cité, en 1537, comme bachelier de la Faculté de Théologie de Paris. Professeur dans l'ordre des jacobins de la ville, fit l'éducation de plusieurs princes de sang royal, devient confesseur de Diane de Poitiers, de Catherine de Médicis. Aumônier à la Cour d'Henri II, puis d'Henri III. Obtint le titre de confesseur du roi. Il fut nommé évêque de Lisieux en 1559. |
Hordret Louis | Saint-Quentin 1713 - 1789 Avocat au conseil du roi. Historien. A publié en 1781, "Histoire des droits anciens et des privilèges et franchises de Saint-Quentin". |
Jumentier
Bernard Saint-Quentin 1749 - 1829 |
Maître
de chapelle à la basilique de Saint-Quentin en 1776. Fut pressenti pour un poste de surintendant de la musique, à la Cour de Louis XVI, hélas pour lui, la Révolution lui "coupa les ailes". A composé un grand nombre de morceaux de musique religieuse, dont les manuscrits sont conservés à la bibliothèque de la ville. de 1789 à 1793, Jumentier s'essaie au carillon, il était alors maître de chapelle à la Collégiale |
Lafons
Claude de Saint-Quentin, |
Il
a laissé, en 1627, " La vie de Saint-Quentin, suivie de quelques
observations sur l'église collégiale bâtie en son honneur" . En
1631, " Les coutumes du Vermandois ". |
Lafons
Quentin de Saint-Quentin vers 1592 - 1650 |
Ecrivain.
Chanoine de Saint-Quentin. Ecrivain infatigable, il nous a laissé, une quantité impressionnante d'ouvrages |
La
Tour Maurice-Quentin de Saint-Quentin 1704 - 1788 |
Pastelliste, Peintre, Dessinateur. Réalisa une très grande quantité de portraits des personnages illustres de son époque : Louis XV, Voltaire, Pompadour etc. Fonda une école de dessins gratuite à Saint-Quentin. Une grande quantité de ses œuvres se trouve conservé au musée Antoine Lécuyer à Saint-Quentin. |
Jacques
Lescot Saint-Quentin 1594 - ? Docteur Docteur de la "Maison et Société de la Sorbonne" en 1622. Il fut principal du collège de Danville et appelé ensuite au siège épiscopal de Chartres. |
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Jacques
Lescot Saint-Quentin ? - 1656 Evêque de Chartres. Confesseur de Richelieu.
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Jacques
Lescot Saint-Quentin ? - ? Avocat. Mayeur de Saint-Quentin en 1740, seigneur en partie d'Etreillers. |
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Emile
Malézieux Saint-Quentin 1822 - 1885 Paris Ingénieur. Fit ses premières études au collège des bons-Enfants de Saint-Quentin. Elève de l'école polytechnique et de l'école des ponts-et-chausées, il devint un ingénieur très distingué. En 1870 et 1873, il fut chargé de deux missions, l'une en Amérique et l'autre en Angleterre. |
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Joseph-Marie
Néret Saint-Quentin 1747 -1823 Mayeur de Saint-Quentin. Botaniste. A écrit en 1790, " Extrait de l'Analyse botanique de la flore française". Cet ouvrage contient l'analyse des genres. Une seconde édition publiée en 1792 renferme, en outre, l'analyse des espèces. |
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Amédée
Ozenfant Saint-Quentin 1886 - 1966 Cannes (Inhumé à Saint-Quentin) Peintre. Ecrivain. Théoricien. Excellent pédagogue. Pionnier de la recherche typographique On trouve des toiles de Ozenfant dans les musées du monde entier. Carrossier de la première automobile fonctionnelle, l'Hispano-Suiza grand sport modèle 1911, l'Hispano-Alphonse XIII !, c'est lui. 1915 à 1917, il jette les bases du purisme dans la revue qu'il créa "L'Elan". Il rencontra Charles-Edouard Jeanneret dit Le Corbusier et devinrent amis. De 1920 à 1925 Ozenfant et Le Corbusier dirige une revue, "L'Esprit Nouveau" 1923 - 1924, Le Corbusier construit sa première maison, en fait celle de Ozenfant. 1936, Ozenfant part pour Londres où il fonde "L'Ozenfant Acaddemy", puis en 1939, à New York il fonde L'Ozenfant Shool of Fine Art. Naturalisé américain en 1944, il rentre en France après la guerre et reprend la nationalité Française, il s'installe alors à Cannes. 1928, publication de l'ouvrage "L'Art" traduit en anglais en 1931. Le musée Antoine Lécuyer possède une peinture dénommée "Après l'orage sur l'Husdson" de 1947 |
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Jean
-Nicolas Papillon Saint-Quentin 1663 - 1723 Graveur sur bois. Son père, Jean Papillon, était lui-même graveur sur bois. Jean-Nicolas a suivi les leçons de Noël Cochin. Inventeur du papier de tapisserie (ou papier de tentures pour appartements). Auteur de l'application de l'impression aux papiers peints (le futur papier peint). Il perfectionna l'art de la gravure sur bois, en y introduisant l'usage du trusquin pour former de distance en distance des tissus qui guident dans la façon des tailles droites et égales. Parmi ses œuvres on distingue surtout, les vignettes de la bible. Il a composé un très beau livre : Histoire de la Gravure sur bois. Réalisa des ornements qui furent très à la mode. Réalisa également divers portraits de personnalités considérés comme des chefs-d'œuvre : Les papes Paul III, Jules III, Pie IV, Jacques II roi d'Angleterre, et surtout les estampes du livre de messe en 36 planches d'après Leclerc. Il laissa deux fils, dont l'un Jean-Baptiste, soutient dignement la réputation de son père. Celui-ci Jean-Baptiste Papillon passait pour le plus habile graveur sur bois de son temps. Il a publié, " Traité historique et pratique de la gravure sur bois", ouvrage où il approfondit et développa les principes de sont art.
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Charles
Picard Saint-Quentin ? - 15 janvier 1883 Maire. Président du tribunal et de la chambre de commerce. Membre du conseil général de l'Aisne. Administrateur du chemin de fer du Nord. Membre du conseil général des Manufactures. Membre du jury international à l'exposition de 1855. Il a publié en 1857, un ouvrage en deux volumes intitulé "Saint-Quentin, de son commerce et de ses industries", on trouve dans cet ouvrage des vues photographiées de la ville, l'une au XV éme siècle et l'autre du XIX éme siècle. A légué une forte somme à distribuer pour les Hospices civils de la ville, pour la distribution de livrets de caisse d'épargne aux meilleurs élèves des écoles communales, à l'école de dessin fondée par De La Tour, et des cours de la société industrielle. Il donna également tous les ouvrages de sa bibliothèque concernant la ville de Saint-Quentin. A légué également à la ville une forte somme, pour l'érection sur la place de l'Hôtel de Ville d'un monument commémoratif de la défense de Saint-Quentin contre les espagnols en 1557. |
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Jean-Louis-Marie
Poiret Saint-Quentin 1755 - 1834 Naturaliste. Explorateur. Voyagea dans le Nord de l'Afrique en 1785-86, il a publié le récit de ce voyage sous le titre de : "Voyage en Barbarie ou Lettres écrites de l'ancienne Numidie", les Coutumes, les Mœurs des Maures et des Arabes", avec un essai de "l'Histoire naturelle du pays". Publia aussi : "Leçons de Flore", "Cours de Botanique", "Histoire philosophique", "Littéraire économique des plantes usuelles de l'Europe". |
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Charles
Rogier Saint-Quentin 1800 - 1885 Il fut un grand Homme d'état Belge Fit ses études à Liège , étudia le droit fut reçu docteur. Devient ami avec Lebeau et Deveaux, ils créèrent le journal "Mathieu Laenberg" qui devient ensuite le "Politique". Il fit une guerre acharnée à la domination hollandaise. En 1830 il forma un bataillon de 300 soldats liégeois et entra dans Bruxelles, le 19 septembre il s'empara de l'hôtel de ville pour le préserver des pillards, le 24 septembre 1830 il forma avec deux autres chefs d'insurgés le premier gouvernement national belge connu sous le nom de Commission administrative, fit partie du gouvernement provisoire, puis du congrès national, il s'y prononça en faveur d'une monarchie constitutionnelle héréditaire. En juin 1831 il fut nommé gouverneur d'Anvers, et ministre de l'Intérieur en 1832. Quitta le ministère en 1835, il reprit alors le gouvernement de la province d'Anvers jusqu'à l'année 1840, il devint alors un des chefs de l'opposition libérale. Le 12 août 1847, le roi le rappela (pour cinq ans ) au ministère de l'Intérieur, puis à celui de la Guerre, il se retira le 31 octobre 1852.
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