Rue du Grenetier (ou grainetier) Rue citée par Colliette et Quentin de la Fons. Tirerait son nom de la femme de Gossuin le Grainetier (ou grenetier) qui y fonda un béguinage vers 1303.Le grenetier, maître du grenier à sel . Ce serait l'actuelle rue du Moulin.
Rue de la Halle ‑aux‑Grains /Ancien nom de la rue St‑Jacques). L'église Saint Jacques après avoir été désaffectée fut transformée en halle aux grains. Au milieu du village, une halle à grain servait, le lundi et le jeudi, au commerce des céréales. Le dimanche, cette halle servait de tribunal et les personnes condamnées à mort étaient pendues sous le pont. http://www.vienne.educagri.fr/apprendautre/eatc2003/Pages_WEB/penroyans.htm
Rue de la Halte‑aux‑Laines (Cette ruelle, ainsi que !'active halle aux laines, sont disparues lors de la construction du théâtre municipal au 19° siècle (f842). La halle avait été bâtie en 1774).
Place de la Halle‑aux‑Poids (Ancien nom de la Petite Place Saint‑Quentin, aujourd'hui disparue/, La halle avait pour objet le respect du poids public.
ruelle de la Halle aux Poissons Cette petite rue, où se trouvait la halle aux poissons, allait de la grande place à la rue de la Comédie. Elle est disparue, elle aussi, en 1842, lors de la construction du théâtre municipal
Rue des Halles Rue relativement moderne (19° siécle) percée lors de la construction des halles municipales.
Rue de l'Industrie Rue ouverte en 1870. Doit son nom à l’importance de l'industrie qui prend son essor dans le quartier d'isle
Rue des falots On ne peut pas oublier de citer ce nom, car il a prit son nom à la Vieille rue de la Buerie des islots , qui était installée dans ce quartier depuis plusieurs siècles. Cette buerie fonctionnait encore en 1815 et son propriétaire, le sieur Jean‑Baptiste Dupuis fut maire de Saint‑Quentin.
Rue des Jardiniers Située à Rocourt, elle nous dit que sans doute les jardins y étaient nombreux.
Rue Au Lin Ancienne voie située non loin de la rue de Bléville. Le !in avait une grosse importance à St‑Quentin depuis que Crommelin avait intensifié sa culture et son tissage dans notre ville et les environs.
Rue des Liniers Anciennement partie de la rue de !a Sous‑Préfecture entre !a rue Michelet et la rue Danton. Citée par De La Pons. Les faibles prix du lin russe, la concurrence du coton et la mécanisation font peser de lourdes menaces. De 1865 à 1899 sa culture passe de 120 000 à 17 000 hectares en France. Les primes, les mesures protectionnistes et les efforts du comité linier ne réussissent pourtant pas à enrayer le long dépérissement de la profession
Ruelle des Machekriers (Ancien nom de !a rue des Bouchers! citée par ColIiete (T.III ‑ folio 248).
Rue des Maçons Pavée en 1884. Les premiers habitants de cette rue étaient des maçons.
Place du Marché‑au‑Lin (Ancien nom de la place du marché‑Franc au 19° siècle). D'après De La Fons, i! y avait une place du Marché au lin au siècle, ou cette marchandise se vendait certains jours de la semaine. Cette place se trouvait près du Puits de la Rose .
Rue du Marché aux Bêtes Rue non située, citée par M. Fouquier‑Cholet.
Le Marché aux Pourceaux (Ancien nom de la place de Cépy. En 1285 c'était une grande p/ace » Loin de la porte Saint‑Jean.
VOICI D’AUTRES PROFESSIONS DU Moyen AGE Ces corporations de métiers furent fixées pour Paris à cent, et voici dans quel ordre il les rangea : Les talmeliers (boulangers), --voir article dans ce site-- les meuniers du Grand-Pont, les blatiers (marchands de grains en gros), les mesureurs de blé, les crieurs de Paris, les jaugeurs, les taverniers, Rue du Grenetier (ou grainetier) Rue citée par Colliette et Quentin de la Fons. Tirerait son nom de la femme de Gossuin le Grainetier (ou grenetier) qui y fonda un béguinage vers 1303.Le grenetier, maître du grenier à sel . Ce serait l'actuelle rue du Moulin.
Rue de la Halle ‑aux‑Grains /Ancien nom de la rue St‑Jacques). L'église Saint Jacques après avoir été désaffectée fut transformée en halle aux grains. Au milieu du village, une halle à grain servait, le lundi et le jeudi, au commerce des céréales. Le dimanche, cette halle servait de tribunal et les personnes condamnées à mort étaient pendues sous le pont. http://www.vienne.educagri.fr/apprendautre/eatc2003/Pages_WEB/penroyans.htm
Rue de la Halte‑aux‑Laines (Cette ruelle, ainsi que !'active halle aux laines, sont disparues lors de la construction du théâtre municipal au 19° siècle (f842). La halle avait été bâtie en 1774).
Place de la Halle‑aux‑Poids (Ancien nom de la Petite Place Saint‑Quentin, aujourd'hui disparue/, La halle avait pour objet le respect du poids public.
ruelle de la Halle aux Poissons Cette petite rue, où se trouvait la halle aux poissons, allait de la grande place à la rue de la Comédie. Elle est disparue, elle aussi, en 1842, lors de la construction du théâtre municipal
Rue des Halles Rue relativement moderne (19° siécle) percée lors de la construction des halles municipales.
Rue de l'Industrie Rue ouverte en 1870. Doit son nom à l’importance de l'industrie qui prend son essor dans le quartier d'isle
Rue des falots On ne peut pas oublier de citer ce nom, car il a prit son nom à la Vieille rue de la Buerie des islots , qui était installée dans ce quartier depuis plusieurs siècles. Cette buerie fonctionnait encore en 1815 et son propriétaire, le sieur Jean‑Baptiste Dupuis fut maire de Saint‑Quentin.
Rue des Jardiniers Située à Rocourt, elle nous dit que sans doute les jardins y étaient nombreux.
Rue Au Lin Ancienne voie située non loin de la rue de Bléville. Le !in avait une grosse importance à St‑Quentin depuis que Crommelin avait intensifié sa culture et son tissage dans notre ville et les environs.
Rue des Liniers Anciennement partie de la rue de !a Sous‑Préfecture entre !a rue Michelet et la rue Danton. Citée par De La Pons. Les faibles prix du lin russe, la concurrence du coton et la mécanisation font peser de lourdes menaces. De 1865 à 1899 sa culture passe de 120 000 à 17 000 hectares en France. Les primes, les mesures protectionnistes et les efforts du comité linier ne réussissent pourtant pas à enrayer le long dépérissement de la profession
Ruelle des Machekriers (Ancien nom de !a rue des Bouchers! citée par ColIiete (T.III ‑ folio 248).
Rue des Maçons Pavée en 1884. Les premiers habitants de cette rue étaient des maçons.
Place du Marché‑au‑Lin (Ancien nom de la place du marché‑Franc au 19° siècle). D'après De La Fons, i! y avait une place du Marché au lin au siècle, ou cette marchandise se vendait certains jours de la semaine. Cette place se trouvait près du Puits de la Rose .
Rue du Marché aux Bêtes Rue non située, citée par M. Fouquier‑Cholet.
Le Marché aux Pourceaux (Ancien nom de la place de Cépy. En 1285 c'était une grande p/ace » Loin de la porte Saint‑Jean.
VOICI D’AUTRES PROFESSIONS DU Moyen AGE Ces corporations de métiers furent fixées pour Paris à cent, et voici dans quel ordre il les rangea : Les talmeliers (boulangers)--article sur ce site,-- les meuniers du Grand-Pont, les blatiers (marchands de grains en gros), les mesureurs de blé, les crieurs de Paris, les jaugeurs, les taverniers, les cervoisiers (brasseurs)article sur ce site,, les regrattiers de pain, de sel, de poisson de mer et de toutes autres denrées, hors poisson d'eau douce (les regrattiers d'alors remplaçaient à la fois les fruitiers et les épiciers d'aujourd'hui), les orfèvres, les potiers d'étain, les cordiers, les ouvriers de toutes menues oeuvres d'étain et de plomb, les fèvres (ouvriers en fer, maréchaux ferrants, faiseurs de vrilles de greffes (fermetures) et haumiers, les couteliers, les serruriers, les boîtiers, les batteurs d'archal, les faiseurs de boucles en fer, archal, cuivre et laiton, les tréfiliers de fer, les tréfiliers d'archal, les cloutiers, les haubergiers (fabricants de cottes de mailles en fer, les patenôtriers d'or et de cor (les fabricants de chapelets), les patenôtriers d'ambre et de gest, les cristalliers, les batteurs d'or et d'argent à filer, les batteurs d'étain, les batteurs d'or et d'argent en feuilles, les laceurs de fil et de soie, les fillaresses (fileurs) de soie à grands fuseaux, les fillaresses de soie à petits fuseaux, les crépiniers de fil et de soie, les ouvrières de tissus de soie, les couturiers de fil, les ouvriers en draps de soie et en velours, les fondeurs et les mouleurs, les fremaillers de laiton (ceux qui fabriquaient les fermoirs pour les livres), les faiseurs de bouclettes (petites boucles) à souliers, les tisserands pour chapeaux de soie, les lampistes, les barilliers (tonneliers), les charpentiers, les maçons, tailleurs de pierres, plâtriers et morteliers, les escuelliers (fabricants d'écuelles), les tisserands de langes, les tapissiers de tapis sarrasinois (c'est-à-dire d'Orient), les tapissiers de tapis notrez (communs), les foulons, les teinturiers, les chaussiers (culottiers), les tailleurs de robes, les liniers (marchands de lin), les marchands de chanvre, les chanevassiers (fabricants de canevas), les épingliers, les imagiers tailleurs et ceux qui taillent (sculptent) les crucifix, les peintres et tailleurs d'images (sculpteurs), les huiliers, les chandeliers de suif, les gainiers, les garnisseurs de gaines et faiseurs de viroles, de chevilles et de gaines de laiton d'archal et de cuivre, les pingniers et les lanterniers, (les pingniers mettaient aux lanternes des tablettes de cornes qui remplaçaient le verre), les cuisiniers, les poulaillers (marchands de volaille), les déiciers (fabricants de dés à jouer), les boutonniers et les déiciers d'archal de cuivre et de laiton (dés à coudre), les étuvistes (baigneurs), les potiers de terre, les merciers, les fripiers, les boursiers et braiers (fabricants de bourses et caleçons, culottes), les peintres et selliers, les chapuiseurs (fabricants de la charpente en bois des selles), les blasoniers (garnisseurs de cuir), les lormiers (fabricants de freins, rênes, mors), les corroyeurs, les cordonniers, les cavetonniers (cordonniers en basane), les savetiers, les corroiers (fabricants de courroies),les gantiers, les feiniers (marchands de foin), les chapeliers de fleurs, les chapeliers de feutre, les chapeliers de coton, les chapeliers de paon (plumassiers), les fourreurs de chapeaux, les feseresses de chapiaux d'orfrois (les marchandes de modes), les archers, les pêcheurs, les poissonniers d'eau douce, les poissonniers d'eau de mer. http://www.paris-pittoresque.com/histoire/10-3b.htm
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